Le vice-président de la Fédération Nationale des Promoteurs Immobiliers (FNPI), Mustapha Allali, a indiqué qu’« en 2021, il n’y a pas eu de véritable reprise. Nous avons noté une légère relance en début d’année suite à la diminution de 50 % des droits d’enregistrement, le marché s’est ensuite de nouveau calmé »

Le secteur de l’immobilier au Maroc demeure très affecté par la crise sanitaire. L’embellie observée durant quelques mois n’a été que de courte durée, ce qui a poussé les professionnels à demander des mesures urgentes.

L’immobilier reste, et de loin, le secteur préféré des Marocains en matière d’investissement. Malheureusement, les restrictions liées aux coronavirus ont presque mis le marché au point mort. Ce marasme semble perdurer en dépit de plusieurs programmes de relance, rapporte Le Matin, qui s’est intéressé aux maux qui minent le secteur et ses attentes.

Interpellé, le vice-président de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI), Mustapha Allali, a indiqué qu’« en 2021, il n’y a pas eu de véritable reprise. Nous avons noté une légère relance en début d’année suite à la diminution de 50 % des droits d’enregistrement, le marché s’est ensuite de nouveau calmé. »

Selon le responsable, le secteur ne pourrait amorcer une relance que si les autorités réduisent les frais, notamment dans la conservation foncière et des taux d’intérêt. « Pour faire bouger les choses, il faut aussi des efforts politiques pour revoir la réglementation », a-t-il souligné.

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