Le financement participatif permet dorénavant aux particuliers de choisir les biens immobiliers dans lesquels ils investissent pour percevoir des loyers. Un formidable potentiel de croissance pour ce marché. Par Dominique Stucki, avocat associé, CVS Avocats.
Quatre ans se sont écoulés depuis l’entrée en vigueur de l’Ordonnance du 30 mai 2014 sur le financement participatif.
Dès cette époque, certaines plateformes françaises de crowdfunding ambitionnaient de proposer des investissements collectifs dans des biens immobiliers en vue de leur location, une formule plus sécurisante pour l’épargnant que de financer un promoteur. Mais ce n’est qu’en juillet 2018 qu’un premier «conseiller en investissements participatifs» (CIP) a pu être immatriculé à cette fin…