Le Maroc, même s’il offre toutes les commodités pour de meilleurs séjours durant les périodes estivales notamment, n’empêche que du coté des citoyens locaux, la colère battrait son plein. Des citoyens qui réclament le minimum des conditions et les moyens élémentaires pour une meilleure vie possible.
Certains voyaient que les autorités locales, des municipalités entre autres, ne font rien pour réduire leurs souffrances. En effet, des citoyens ne cessent de réclamer à qui de droit et de faire appel afin que leurs doléances soient prises en charge, et qu’elles ne restent pas « Lettre morte », comme on dit.
Revenons à notre sujet principal. Des infos rapportées par un journal marocain parlent justement de cette colère qui touche les citoyens marocains mais qui résident à l’étranger. C’est notifié que pas moins de 400 plaintes auraient été déposées par les marocains vivant à l’étranger et qui auraient laissé leurs immobilier au Bled (Chez eux).
Ces plaintes seraient déposées au niveau des ambassades et consulats de leur pays à l’étranger et ce pour des litiges au Maroc. Des plaintes dont la plupart dans le domaine de l’immobilier et ce depuis le début de l’année 2018 à ce jour, soit en 10 mois d’intervalle.
Elles ont été déposées majoritairement aux Pays-Bas, la France et la Belgique et ce pour le motif d’expropriations et des confiscations de biens qui se seraient produites au Maroc, selon les grondeurs. A cet effet, il parait que toutes les demandes ont été redirigées ensuite aux services compétents que se soit l’administration territoriale ou les tribunaux pour diligenter des enquêtes.
Pour les chiffres et sans le cas de l’administration territoriale, quelques trente (30) affaires ont déjà été résolues. Alors que soixante (60) devraient suivre le même chemin et donner satisfactions à ces marocains résidant à l’étranger. On avance aussi que vingt-huit (28) n’auraient pas reçu d’avis favorables. D’autres plaintes auraient été déposées contre les collectivités locales pour des problèmes d’urbanisation.